Effets de la mycorhization sur l’alimentation hydrique et la nutrition minérale du pois chiche de printemps

Par:SARRA SAMAALI

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Thèse en preparationProjet de thèse en AGRONOMIE ET ENVIRONNEMENT.
En préparation depuis 2015/2016 à INSTITUT SUPERIEUR AGRONOMIQUE CHOTT-MERIEM.
UNIVERSITE DE SOUSSE


L'auteur

SARRA SAMAALI
DIPLOME NATIONAL DE MASTERE (2014 Ecole Superieure d'Agriculture du Kef ESAK)
Mail:samaali_sarra@hotmail.fr

Le directeur de thèse

MONGI MELKI
MAITRE DE CONFERENCES à MESRS
Structure de recherche:UR06AGRO5
Mail:melki.mongi@iresa.agrinet.tn

Objectif

Le déficit hydrique et l’irrégularité des pluies constituent des facteurs limitants essentiels de la production agricole dans les zones arides et semi-arides de la Tunisie. Ils se traduisent par une faible disponibilité en eau dont le rôle est essentiel, notamment dans le transport et l’accumulation de solutés nécessaires au métabolisme végétal. Les plantes disposent de plusieurs stratégies d’adaptation au stress hydrique dont l’aptitude à s’associer symbiotiquement avec des champignons mycorhiziens. La tolérance dans le cas d’un abaissement du potentiel hydrique du sol des plantes mycorhizées s’exprime par une diminution de la résistance au transport de l’eau dans les racines mycorhizées et par le maintien de la turgescence des cellules foliaires grâce à l’accumulation de solutés. Le pois chiche (Cicer arietinum L.) est l’une des légumineuses qui a une dépendance mycorhizienne importante par rapport aux autres espèces. Ce travail a pour objectif de chercher une association symbiotique pois chiche/Rhizobium/champignon qui, en plus de la fixation de l'azote atmosphérique, peut contribuer à l’amélioration de la tolérance du pois chiche au manque d’eau et augmenter l’absorption des éléments minéraux.